Vous avez bien lu. En fait c’est Y comme Y en a marre ! Mais bon, je trouvais l’autre titre mieux. Quelques explications peut-être ? Tout du moins une mise en garde pour les nouveaux et les anciens professionnels ou les associations ou tous ceux qui décident de créer un site Internet pour leurs recherches. Il y a 5 ans, j’ai changé de webmestre. Ma première webmestre ne savait pas faire des bases de données et donc m’avait très gentiment conseillé de chercher quelqu’un d’autre, mon site devenant trop lourd selon elle pour être vraiment efficace. Ce que j’avais fait. Après plusieurs devis, j’avais choisi une entreprise qui me semblait professionnelle et qui était dans le tarif que je m’étais fixé. Sans le savoir, j’étais tombé dans une entreprise « one shot ». Je vous déconseille ce type d’entreprise, à la limite de la légalité. N’hésitez pas à aller sur les forums vérifier ce qu’on dit de l’entreprise que vous voulez choisir en tapant « arnaque » à côté de son nom. Si rien ne ressort, ce qui devrait normalement être le cas, alors vous pouvez y aller en toute confiance. Mais c’est l’expérience qui me le fait dire maintenant. Cette entreprise a fait faillite. Cela arrive aux meilleurs, alors les mauvais…. Bref, recherche à nouveau d’un webmestre et là je suis tombé sur des gens sérieux, compétents. Des perles en la matière. Ce nouveau webmestre s’est rendu compte que mes noms de domaine n’étaient pas à mon nom mais au nom de mon ancien webmestre. Et là, la galère commence. L’ancien webmestre avait détruit certains de mes sites chez lui mais pas tous. Ce qui fait qu’il existe actuellement des hébergements fantômes. Il avait vendu la partie commerciale à une entreprise de leasing et la partie technique à une entreprise informatique. Très pratique ! Comme ces anciens sites existent, je suis mon propre concurrent. Pour éviter cela, il me faut récupérer les noms de domaine pour pouvoir dire à Google et à ses concurrents qu’il faut référencer les nouveaux et plus les anciens. Cela a l’air simple. Ce ne l’est pas du tout. C’est même un immonde imbroglio. Car là une partie de ping pong s’engage entre l’entreprise de leasing, l’entreprise informatique, mon nouveau webmestre et moi. Les deux premiers se renvoyant la responsabilité et personne des deux ne voulant agir. Obtenir un nom du service commercial de l’entreprise informatique fut déjà une gageure. Obtenir un e-mail encore plus. Obtenir une réponse écrite de l’entreprise de leasing, je ne vous parle même pas de la difficulté que c’est. Mission impossible à côté c’est de la gnognotte ! Bref, je vais sortir les orgues de Staline et balancer un bon coup de semonce. Parce que cela fait trois mois que rien n’avance. Je suis patient, gentil, mais pas un abruti non plus. Et j’ai horreur qu’on me prenne pour un c… Au départ, on pense prendre un simple webmestre. Et on se retrouve à devoir gérer autre chose qui prend du temps, de l’argent, qui gêne le travail pour les clients. Epuisant au possible. D’où mon « Y comme noms de domaine Internet ».