Les semaines passent à une vitesse, je n’en reviens pas. Cette semaine, les AD du Tarn sont fermées. Je m’étais dit que j’allais en profiter pour m’avancer dans les pages de paléographie demandées par mes clients. Bernique ! Nous sommes vendredi, je n’ai pas encore mis un oeil dedans. Pourtant, je n’ai pas chômé : écriture de deux articles, facturation (pendant deux jours et demi quand même parce que j’avais pris du retard pour cause de Congrès), rendez-vous avec une cliente, établissement de devis, mise à jour très succincte d’une base de données. Nous sommes vendredi après-midi, 15 heures, et je vais peut-être pouvoir m’y mettre. Le temps passe beaucoup trop vite. Comment font mes confrères qui s’ennuient à leur travail, parce que j’en connais qui s’ennuient et qui ont le temps de dépiauter les écrits des autres pour voir s’ils sont politiquement corrects. Personnellement, je n’ai pas le temps. A peine celui de finir un dossier que j’entame le suivant. Et ça y est, sur certains projets qui me tiennent à coeur, j’ai un an de retard, parce que je n’ai pas pu y remettre le nez dedans. Et que j’ai des centaines de pages à la frappe qui attendent aussi. Mais j’arriverais bien à trouver des solutions. Je n’ai pas d’autres choix.