En 2006, l’Agence Pour la Création d’Entreprise avait rédigé une fiche sur le métier de généalogiste avec mon aide, dans le cadre de leur collection Créaflash. Depuis, je ne suis plus sûr que cette collection existe, étant donné que l’APCE est devenue le 13 avril 2016 l’Agence France Entrepreneur.
Je me suis dit que cela valait la peine de reprendre alors cette fiche et de modifier tout ce qui n’était plus d’actualité. Afin que ceux qui veulent un jour s’installer puissent le faire en récupérant de l’information. Cela vaut ce que cela vaut. Mais plutôt que rien…
I – Définition du métier
Le généalogiste professionnel se divise en deux métiers: le généalogiste familial et le généalogiste successoral. Objectif dans les deux cas : prouver la filiation et la parenté. La finalité est par contre différente. Dans le cadre de la généalogie successorale, cette recherche de parenté se fait exclusivement pour trouver des héritiers inconnus d’une succession vacante. Dans le cadre de la généalogie familiale, cette recherche s’effectue uniquement pour trouver les ancêtres de la personne qui en fait la demande.
1/Le généalogiste familial :
Son rôle : aide à la mise en place d’un arbre généalogique ou reconstruction de l’histoire des familles et de leurs membres.
Recherche de tous documents prouvant la parenté : actes d’état civil, actes notariés notamment. Le généalogiste familial doit parfaitement connaître les séries des Archives Départementales et toutes les pistes que chacune d’elles peut lui apporter. De même, il doit savoir déchiffrer des actes aussi bien du XVIe siècle que du XIXe.
La photographie des actes trouvés afin de fournir la preuve de ce qu’il avance. Ou sinon, il doit donner précisément les cotes et les folios des documents qu’il a consultés.
L’informatisation de l’arbre généalogique.
La rédaction du rapport au client lui indiquant toutes les démarches qu’il a pu effectuer pour lui et le résultat obtenu pour chacune.
Sans oublier les prestations moins logistiques comme gérer le stress des clients (ces derniers peuvent être impatients d’obtenir des résultats).
2/Le généalogiste successoral :
A la demande d’un notaire, ou parfois de sa propre initiative, il est chargé de retrouver tous les héritiers d’une personne. Il peut aussi intervenir dans le cadre d’une vérification de dévolution successorale à la demande d’un officier ministériel. Il pourra enfin intervenir pour identifier les descendants d’une personne ou débloquer une vente immobilière dans laquelle la trace des propriétaires légitimes a été perdue. Pour cela:
Recherche de tous documents pouvant prouver la parenté: état civil, listes électorales, recensements de population.
Enquête de terrain (voisins, amis, employeurs…)
3/Formation :
La licence professionnelle « Activités Juridiques – Spécialité GENEALOGISTE SUCCESSORAL » mise en place par l’Université de Corte pendant plusieurs années n’existe plus. Par contre, l’Université de Polynésie Française propose un DU de généalogiste successoral.
Il existe trois Diplômes Universitaires de généalogie en métropole : Nîmes, depuis 2009 en présentiel et à distance depuis 2015 avec possibilité de faire un stage d’au moins 3 mois, Le Mans uniquement à distance depuis 2015, et Paris XIII – Villetanneuse à partir de janvier 2018.
L’Université de Nîmes a mis aussi en place un DU intitulé « Installation du Généalogiste Professionnel ».
4/Déroulement de l’activité :
Chaque dossier est différent et plusieurs critères peuvent intervenir, selon les régions qui ont été plus ou moins épargnées par les guerres, par la conservation de certains documents, par la sagacité de certaines administrations, par la difficulté de retrouver certaines personnes etc.
Cependant, le Généalogiste Successoral mettra toujours tout en œuvre pour parvenir le plus rapidement possible à ses conclusions.
Après un entretien destiné à cerner très précisément la demande du client, le généalogiste familial va proposer un devis. Un arbre généalogique sur mesure en quelque sorte !
Durée de la mission d’un généalogiste familial : Elle est très variable. Tout dépend du devis : un an, parfois jusqu’à 4 ou 5 ans, parfois juste quelques jours ou quelques heures.
La plupart des généalogistes sont spécialisés, les généalogistes mixtes (familial et successoral) sont plutôt rares dans la profession.
5/Aptitudes :
Sens de l’organisation, rigueur intellectuelle, sens relationnel.
Les études en histoire pour les familiaux et en droit pour les successoraux sont un plus. De même qu’une grande pratique des différents dépôts d’archives et, pour les successoraux uniquement, des sources récentes de renseignements.
Connaissance en gestion et comptabilité, savoir tenir un budget avec rigueur.
Connaissance en informatique (traitement de texte, tableur).
Code APE 9609Z : autres services personnels. Le code APE ne permet pas de repérer les généalogistes d’autres professions.
Fiche ROME K2401. Là encore, elle ne permet de repérer les compétences des généalogistes d’autres professions.
II – Stratégie
1/L’évolution du marché :
Très en vogue en France depuis une quarantaine d’années, les généalogistes familiaux ont investi le marché français depuis environ 30 ans. Il y en aurait de plus en plus.
Les généalogistes successoraux existent depuis beaucoup plus longtemps et leur nombre serait stationnaire mais les demandes liées à l’assurance vie en plein essor pourraient peut-être permettre de développer encore le marché.
La profession compte environ 500 personnes officiellement recensées par les six syndicats professionnels représentatifs. Mais il existe aussi de nombreuses études hors de toute affiliation (environ une centaine).
2/La concurrence :
Pour les généalogistes familiaux, elle se compose principalement (en tout cas pour les recherches ponctuelles d’un acte et pour l’état civil).
- Des cercles de généalogistes amateurs (Les renseignements de plus de 75 ans sont dans le domaine public, et librement consultables par quiconque, comme le prévoit la loi sur les archives).
- De la mise en ligne par les Archives Départementales des actes d’état civil (accès sur les sites des Conseils généraux).
- Des réseaux d’entraide existant sur Internet comme Le fil d’ariane.
Par contre il apporte une réelle plus-value pour tout ce qui est recherche longue ou transcription de documents anciens. De ce fait, le généalogiste familial peut enrichir de façon notable une généalogie réalisée par un amateur.
En ce qui concerne les généalogistes successoraux, il existe quelques grandes études ayant des cabinets nationalement: Coutot-Roehrig, Andriveau, Bovyn-Dechnik, etc.
Il est préférable, pour un généalogiste successoral qui veut s’installer à son compte, d’être passé au préalable par le statut de salarié d’une de ces grandes études afin d’apprendre le métier.
3/Les clients :
Le généalogiste successoral a pour prescripteurs (plutôt que clients): les notaires, les assureurs (dans le cadre des assurances-vie pour lesquelles il faut rechercher les ayants droits), d’autres apporteurs d’affaire, les particuliers. Ses clients sont les personnes à qui ils révèlent la succession inconnue.
Le généalogiste familial : toute personne qui a soif de mieux connaître ses origines, ses racines. Tant pour les néophytes que pour ceux qui se trouvent, pour une raison ou une autre, bloqués dans leurs recherches, le généalogiste familial constitue souvent un véritable recours. La clientèle étrangère est présente et provient essentiellement de pays européens proches ou de pays anglo-saxons.
Enfin, la «généalogie-cadeau» est une idée originale pour un départ à la retraite, un anniversaire, un mariage. Elle se présente sous la forme d’un mémoire avec arbre généalogique, illustré ou pas. Le plus souvent, il s’agit de l’histoire des cinq ou six générations précédant la personne qui se situe au centre de l’évènement.
4/La place du créateur :
Profil : l’enquête menée par la Chambre des généalogistes professionnels montre que les généalogistes sont souvent des passionnés, amateurs, qui ont franchi le pas de la professionnalisation, quelle que soit la formation initiale (un quart ont fait du droit).
Atouts du professionnel : il connaît les dépôts d’archives de son secteur géographique. Pour le généalogiste successoral, il a un réseau national, voire international, d’informateurs.
La valeur ajoutée : le gain de temps, d’énergie et d’argent pour les clients, notamment pour les familiaux mais pas seulement.
Le plus difficile : dénicher les informations. Le généalogiste successoral a une obligation de résultat. Le généalogiste familial une obligation de moyens.
Equipe logistique : le généalogiste familial exerce la plupart du temps seul son activité. Par contre, les généalogistes successoraux ont souvent des collaborateurs.
Communication : un site Internet (bilingue) devient incontournable pour exposer ses prestations et références. L’affiliation à une chambre syndicale de professionnels peut se faire ne serait-ce que pour favoriser le contact avec d’autres confrères, préludes bien souvent à des travaux de sous-traitance.
La localisation : toutes les régions françaises et certains pays limitrophes de la France sont couverts par au moins un généalogiste. Une recherche dans les Pages Jaunes s’impose avant de s’installer !
III – Finances
1/Investissements :
A/Le coût d’installation
Il n’est pas élevé: une voiture personnelle, un équipement bureautique (téléphone, ordinateur, connexion Internet, fax soit environ 1500 euros); un local éventuellement pour accueillir les clients et un budget de communication pour se faire connaître avant que le «bouche à oreille» fonctionne (publicité dans les revues, les Pages Jaunes, création d’événement…).
B/Logiciels
Par exemple logiciels pour la généalogie familiale : Geneatique (CDIP) et Heredis (BSD concept), environ 150 euros.
2/Facturation :
Les généalogistes familiaux proposent une tarification à la journée, au forfait à l’heure ou à l’acte (35 euros l’heure en moyenne).
Le généalogiste successoral facture ses honoraires en fonction du degré de parenté entre l’héritier retrouvé et le défunt. Soit de 20 à 50% de l’actif net de la succession.
Un devis précède en général la prestation.
3/Charges :
Importance des charges liées aux déplacements et à la publicité au départ pour se faire connaitre.
Des déplacements plus ou moins longs, plus ou moins loin, sont à prévoir.
4/Résultat :
Le coût moyen pour une journée de recherche d’un généalogiste familial se situe entre 280 et 350 euros. Pour une généalogie «par quartiers» sur 6 générations, c’est-à-dire les 62 ancêtres qui feront remonter le temps jusqu’à la Révolution Française, il faut prévoir un budget de 2 500 euros.
Il faut compter environ de 3 à 5 ans avant que l’activité soit rentable. L’enquête de la CGP de 2005 donne un CA moyen voisin de 14 000 euros, pour les généalogistes familiaux, ce qui est peu. La majorité a un CA de moins de 27 000 €. Le CA se situe plutôt dans la moyenne de 140 000 euros chez les successoraux (moyenne des CA annuels déclarés par les successoraux de la Chambre des Généalogistes Professionnels à leur assurance groupe), avec parfois des CA supérieurs (Etude Guenifey : 2,5 millions d’euros; Etude Aubrun : 6millions d’euros; Etude Coutot-Roehrig : 33 millions d’euros). La généalogie successorale apparait beaucoup plus vite rentable que la généalogie familiale.
Elle reste de toute façon très peu lucrative si le généalogiste reste dans le domaine de la recherche pure (la seule recherche des ancêtres représente entre 23 et 24 000 euros par an) : il faut à tout prix diversifier ses activités !
5/Contraintes :
A/Conditions d’installations
Dans les deux cas, généalogiste familial ou successoral, afin de protéger la vie privée des individus, toutes les démarches concernant l’état civil de moins de 75ans se font sur autorisation délivrée par les procureurs de la République (Tribunal de grande instance –ministère de la justice).
Cette autorisation est délivrée au vu de la possession d’une carte professionnelle ou d’un Kbis ou d’une déclaration auprès de l’URSSAF.
La carte professionnelle s’obtient auprès d’une Chambre syndicale au vu d’un examen par ses membres de la motivation et des compétences du candidat.
Statut libéral ; inscription les plus fréquentes comme entreprise individuelle, EURL ou société d’exercice libéral (chez quelques successoraux).
B/Pratiques et usages
Le généalogiste est tenu au secret professionnel. Il s’engage à communiquer les informations qu’il a recueillies aux seules personnes autorisées.
Le généalogiste successoral a par ailleurs d’autres obligations :
Il doit être couvert par une assurance en responsabilité civile et une garantie financière dont il doit pouvoir se justifier à tout moment. En effet, dans certains cas il peut être amené à régler une partie de la succession, (moyennant procuration des héritiers, c’est le cas quand il y a vente de biens immobiliers, nécessaire pour payer la succession) dans d’autres cas, il peut avoir oublié un héritier, qui dispose alors de 30 ans pour faire valoir ses droits et être dédommagé auprès du généalogiste
Aucune contrainte particulière pour le généalogiste successoral qui est toujours assuré d’être payé.
Pas de contraintes particulières non plus mais beaucoup de rigueur pour le généalogiste familial: un devis et budget prévisionnel, échéancier des paiements, etc. pour formaliser les relations entre lui et ses clients.
Un budget total est prévu et sert de base pour fixer les conditions de facturation aux clients : en général un acompte puis des paiements mensuels ou réguliers (attention aux mauvais payeurs!). Des frais de déplacement peuvent se rajouter.
Le client dispose d’un délai de réflexion de huit jours après signature du contrat afin de se rétracter et cette clause doit être écrite.
14 réponses à “Mise à jour de l’ancienne fiche APCE sur le métier de généalogiste”
Bonjour,
Merci pour avoir partagé ce post, très complet et fort utile. La présence de données chiffrées devrait aider ceux qui veulent se lancer dans cette aventure.
Pour ma part, je me suis lancé fin 2016, en proposant des prestations centrées sur l’Italie. Si mon court retour d’expérience peut servir, je confirme tous les point évoqués par M. Cosson, et insiste sur la patience et la persévérance. En effet, il faut bien prévoir de laisser du temps au temps, car il est indispensable de se faire connaître et d’investir beaucoup de temps (et un peu d’argent) en communication.
Encore merci et bon courage
Bonjour,
Merci pour votre commentaire et bienvenue !
J’essaie dans la mesure du possible d’aider ceux qui veulent se lancer. Il y a tellement peu qui le font !
Bon courage à vous aussi et s’il y a besoin, n’hésitez pas. Ce sera avec plaisir.
bonjour Monsieur Cosson,
je lis toujours avec attention vos posts et celui-ci est particulièrement interessant. J’exerce l’activité de généalogiste en Polynésie française à Tahiti et dans votre post, sur les formations au point 1.3 je voulais vous préciser qu l’université de Polynésie française dispense également une formation intitulée « DU Généalogiste successoral »
bien cordialement
Denis DOYEN
Bonjour,
Je le modifie tout de suite. Merci de me l’avoir signalé.
Bien cordialement,
Stéphane Cosson
Bonjour M. Cosson,
Et merci pour toutes ces informations concrètes et précises, qui répondent enfin à tant de questions que je me posais jusque là. Passionnée par la généalogie depuis une petite dizaine d’années, je suis de plus en plus tentée par une formation, mais mon niveau initial semble m’interdire l’accès au « Graal » du Diplôme Universitaire. En effet, je n’ai pas le niveau BAC. Ma grande motivation pourrait-elle suffire pour présenter ma candidature et espérer retenir l’attention des sélectionneurs ?
Bien cordialement.
Isabelle Feuvrier
Bonjour,
N’ayez aucun souci en terme d’accès. Ce qui nous intéresse, c’est justement la grande motivation et pas les diplômes (en formation continue, c’est différent pour les étudiants de l’Université de Nîmes). Donc surtout n’hésitez pas à présenter votre candidature, en présentiel ou à distance. Et à la présenter plusieurs fois si vous n’êtes pas prise la première fois.
Par contre, votre candidature sera étudiée UNIQUEMENT si elle est complète. Alors n’oubliez surtout aucun document et répondez bien aux mails du service « formation continue » de l’Université en vérifiant si vous ne les avez pas dans les spams (il y a tellement de filtres à l’université que cela arrive très fréquemment).
Et je suis toujours disponible par mail ou par mp sur Facebook ou LinkedIn pour répondre à vos éventuelles questions.
A très bientôt peut-être,
Stéphane Cosson
Bonjour monsieur Cosson
Je me présente : j’ai 47 ans et 18 années d’expérience en tant que clerc de notaire dans la même étude au sein de laquelle j’ai appris le métier et fais un BURN OUT il y a 8 mois.
Je souhaite clore ce chapitre et me reconvertir comme généalogiste successorale mais je n’ai ni le BAC ni le diplôme de clerc, juste un BEP.
Fonction que je peux justifier avec mes bulletins de salaire.
De plus je suis dans le Var et très loin des universités.
Je ne sais pas très bien par où commencer et quel cursus je dois prendre ? Est-il possible d’obtenir une formation continue ? Quel conseil pourriez-vous me donner pour me lancer dans l’aventure ?
Bien cordialement
Bonjour,
Comme ça a priori, plusieurs possibilités : Vous avez été 18 ans clerc de notaire mais vous n’avez pas de diplôme dans ce domaine. Vous pourriez passer une VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) pour faire reconnaître ces 18 années. Après 9 ans d’exercice dans une étude, les Clercs de notaires peuvent obtenir un certificat d’aptitude aux fonctions de Notaire. Donc pourquoi pas un BTS notariat ou au-delà ? Juste pour faire reconnaître votre expérience et qu’ensuite celle-ci puisse vous servir pour votre nouvelle carrière. Cela demande du travail de préparation mais cela peut être un plus, plus valorisant qu’uniquement des bulletins de salaire.
Ensuite, vous n’êtes pas si loin que cela d’une université qui propose des études dans le domaine de la généalogie. En effet, vous pouvez suivre des cours à distance à l’université de Nîmes dans le cadre d’un DU. Là encore cela va vous demander du travail mais dans le cadre de ce DU, vous pouvez suivre un stage chez un successoral pour voir si le métier vous passionne ou pas.
Qu’en pensez-vous ?
Bien cordialement,
Bonjour,
Je vous remercie pour votre réponse et vous en remercie.
J’ai également pensé à la VAE et j’ai déjà récupéré le dossier pour ensuite m’orienter vers un DU, mais la démarche va à être plutôt longue et nécessite un gros travail.
J’espérais une solution plus rapide et moins scolaire comme une alternance.
Bien cordialement
Bonjour,
Malheureusement, tant que le DU n’est pas reconnu au RNCP, des contrats de type alternance, professionnalisation ou autre du même acabit, ne sont pas possibles. J’en suis désolé,
Bien cordialement,
Bonjour,
Envisageant de m’installer dans les prochains mois en tant que généalogiste familial, je suis particulièrement intéressé par le DU « Installation du généalogiste professionnel » de l’université de Nîmes.
Pourriez-vous m’indiquer quand est programmée la prochaine campagne d’inscription ? Pour info, je suis titulaire du DU de l’université du Mans « Histoire et généalogie familiale ».
Bien cordialement,
Bonjour,
L’inscription se fait en janvier pour des cours au mois d’avril. N’hésitez pas à m’envoyer un message sur mon adresse mail si besoin est : stephane.cosson@aliceadsl.fr
Bien cordialement
M Cosson,
Qu’en est-il de l’inscription du DU au RNCP ?
Il semble qu’il en est question depuis de nombreuses années mais toujours rien ?
Avez-vous une explication à ce sujet ?
Merci pour votre retour
Bonjour,
L’inscription des DU au RNCP est toujours en cours. France Compétences, l’organisme certificateur, fait autant attention à la forme des documents qu’au fonds. Le fonds est prêt, l’université s’attelle désormais à la forme en fonction des desiderata de France Compétences. Il n’y a pas une personne payée pour ne faire que cela. Ce travail se fait en plus de tout le reste. Cela prend donc du temps, les agendas n’étant pas extensibles à l’infini. Mais l’université suit toujours le dossier.