Ma collaboratrice arrive hier des Archives du Tarn et me dit : « Vous auriez pu me prévenir que vous aviez arrêté votre activité ! » Je la regarde un peu interloqué. Pardon ? Elle me dit alors que la rumeur commence à se répandre comme quoi j’ai arrêté mon activité de généalogiste professionnel et que je travaille à temps plein sur Nîmes.
Alors, s’il est vrai que je parle souvent de Nîmes, parce que j’aime beaucoup enseigner, j’aime beaucoup faire attention à mes étudiants et à leur bien-être, à leur devenir ensuite, je ne fais pas que cela, je tiens à rassurer et à couper court à la rumeur avant qu’elle ne bruisse trop. Effectivement, il y a des projets qui sont en train de sortir de terre parce que l’Université profite aussi du fait d’avoir un généalogiste professionnel à ses côtés, en lien avec le monde professionnel, pour les mettre en place.
J’exerce toujours en tant que généalogiste professionnel. Je ne suis pas passé chargé de cours à temps plein à Nîmes. Tout d’abord parce que ce n’est pas possible. Pour pouvoir enseigner à l’Université, quand on n’est pas maître de conférence, il faut exercer une activité professionnelle à côté, activité professionnelle qui doit couvrir la majorité du temps de travail. L’Université n’a pas le droit d’être l’employeur principal d’un chargé de cours.
Donc j’exerce toujours. J’ai toujours une clientèle à côté, que ce soit en paléographie, en généalogie, ou en tant qu’auteur d’articles ou de conférences. De même, si vous voulez vous installer. Si vous êtes bloqué dans votre généalogie, si vous avez des problèmes de lecture de compréhension d’un texte, vous pouvez faire appel à moi sans souci. Je vous répondrais avec plaisir. Nîmes ne me prend que du jeudi après-midi au samedi après-midi, temps de transport compris. J’ai donc plein de temps à vous consacrer.
J’exerce toujours en tant que généalogiste professionnel. Que cela soit clair pour tous !