Bon ben, une fois de plus, je vais n’en faire qu’à ma tête. Je sais, normalement, le dimanche, pour le challenge c’est repos. Mais au vu des commentaires entamés avec Odile sur ma première note, je me suis dit qu’une deuxième ne serait pas de trop. Et il ne fallait pas gâcher le rythme des lettres les autres jours de la semaine. Ce qui est intéressant, dans la Longue Traîne, c’est que nous sommes tous des producteurs. Amateurs comme professionnels. Voire même qu’il peut exister une collaboration Pro-Am, comme l’auteur l’appelle. Il ne faut jamais sous-estimer la puissance des amateurs qui ont les clés de l’usine. On va dire que vous avez d’un côté le petit corps des professionnels et des sociétés commerciales, et de l’autre vous avez l’immense corps des amateurs qui font cela par passion. La généalogie est un terrain naturel pour le bénévolat. Et les outils de production ont été complètement démocratisés. C’est le cas par exemple avec les blogs généalogiques où tout un chacun peut donner des nouvelles sur ses recherches, voire faire des articles savants si l’envie nous prend. De même, quand on réalise une encyclopédie Internet centrée sur la généalogie à la manière de Wikipédia. Nous sommes entrés dans une économie de la réputation où les composantes purement économiques peuvent être secondaires.