Je suis en train de lire un très intéressant ouvrage qui s’intitule « La Longue Traîne, quand vendre moins c’est vendre plus ». En fait, cet ouvrage s’intéresse aux marchés des niches et à Internet. Tout ce qui existe, mais n’entre pas dans la loi du succès, du blockbuster obligatoire et est donc oublié. Sauf que pour cette longue traîne, cette très longue traîne, les ventes ne sont jamais nulles. Il peut toujours y avoir un achat, pas souvent certes. Mais dans la masse de ce qui a été oublié, peu d’achat de beaucoup de choses oubliées, cela peut finir par faire de l’argent, beaucoup d’argent. Certes cette notion de quantité est primordiale pour que cela fonctionne. Mais tout de même…. Comme à mon habitude, quand je lis ce type d’ouvrage, j’essaie de voir comment je peux l’appliquer à la généalogie. Quels sont les succès ? Qu’est-ce qui est oublié dans notre marché de niche, parce qu’estimé peu rentable, qui peut être récupérable malgré tout et revendu ? Pour le moment, je ne le sais pas. Ma lecture commence juste. Nénamoins, ma curiosité a été éveillée. Je me dis qu’il y a sans doute des niches à l’intérieur des niches. Voire qu’on peut affiner encore plus. Façon poupées russes. Une idée à creuser dans le futur.