Un procès, c’est toujours compliqué. Tribunal de commerce ou pas. La justice est un peu lente mais je crois que, quand même, à force, on va tenir le bon bout . Ce n’est que la deuxième fois que le procès est repoussé d’un mois. Tout va bien ! La première fois, il avait été demandé au batônnier de l’ordre des avocats de se prononcer sur le bien-fondé de la nomination de l’avocat de mon adversaire : mon ancien expert-comptable pouvait-il être défendu par l’avocat qui avait réglé la cession de parts entre mon associé et moi ? Le batônnier a répondu que non, il y a conflit d’intérêts. D’où la nomination d’un nouvel avocat. Qui a pris un peu de temps puisque, entre temps, le batônnier a changé. Aujourd’hui, on y va, j’y suis, je suis prêt. Taïaut !! Oui ? Non ? Non ? Oui ? Et bien non, le nouvel avocat n’a pas eu le temps de prendre entièrement connaissance du dossier. Report d’un mois. Remarquez, cela va nous permettre d’affiner la plaidoirie. Une fois encore. Croisons les doigts, normalement, si tout va bien, le 26 février, on devrait plaider. Mais cela met parfois les nerfs à rude épreuve.