Eh oui, embauche ratée ! Après 4 mois de négociations, de contacts, d’e-mails et de conversations, la dernière ligne droite n’a pas été la bonne. Dommage ! Ce qui a coincé ? Apparemment, les conditions salariales et la clause de non-concurrence. Il me semble normal, si je paie une formation à quelqu’un pendant un an, de lui faire signer dans le contrat de travail une clause de non-concurrence. Pas question de lui payer de la formation et qu’ensuite, une fois correctement formé, il se mette à son compte ou aille proposer ses services à la concurrence. Je tiens à rentabiliser, si je puis dire, la formation payée, avoir un retour sur investissement. Cela me semble complètement normal en tant qu’employeur ! Cela me fait bizarre de le dire ainsi mais c’est bien de cela qu’il s’agit, non ? De même, le temps de la formation, qu’il soit payé comme le prévoit la loi en fonction de son âge me semble naturel. Après tout, il s’agit bien d’une année d’apprentissage du métier, d’une année où il y a acquisition de compétences nouvelles. Et qu’ensuite, au fur et à mesure que les compétences sont acquises, que le salaire puisse augmenter en fonction de la clientèle nouvellement rapportée, avec pourquoi pas un pourcentage sur le CA nouveau, histoire d’avoir une motivation supplémentaire, me semble être un bon deal. Cela n’a pas suffit. Dommage ! Du coup, cela m’interroge. Vais-je passer une annonce à l’ANPE : recherche généalogiste amateur confirmé pour emploi en contrat de professionnalisation, travail sur Midi-Pyrénées, avec déplacements à la clé ? Comment résoudre ma quadrature de cercle ? Parce que, contrairement à ce que me dit mon entourage familial, il est hors de question pour moi de régresser, d’arrêter le développement de ma société au prétexte que je suis surbooké. Car cela signifierait pour moi arrêter tout simplement et il n’en est absolument pas question. Même si ce n’est pas un métier financièrement simple mais c’est un métier que j’ai choisi. Il me faut continuer à aller de l’avant. C’est indispensable et inévitable. J’ai trop investi de mon temps personnel pendant un an et demi pour cela. Je dois encore réfléchir pour trouver la bonne solution, celle qui me convienne le mieux. Peut-être m’étais-je trop précipité ?