Il y a des jours comme cela où on se lève plein d’allant, le moral entièrement au beau fixe. On va tout trouver pour un client, lui avancer sa généalogie, on le sent. Même s’il y a des petites voix qui annoncent le contraire, petites voix que l’on refuse d’entendre. On le devrait pourtant. C’est ce que j’aurais dû faire hier. J’avais prévu d’aller aux Archives Municipales de Toulouse. Elles sont ouvertes le lundi matin, contrairement aux Archives Départementales, cela m’arrange. J’arrive et … « Fermeture exceptionnelle le lundi 21 janvier de 9 h à 13 h 30 ». Bon, pas grave, j’avais décidé aussi, tant que j’étais à Toulouse, de déposer une demande de stagiaire à l’IUT Infocom de Ponssan-Bellevue, j’y vais. Cela m’avancera et je reviendrais à 13 h 30. 13 h 30 : je m’inscris à nouveau aux Archives Municipales, rentre dans la salle de lecture, commande les premiers documents. Le magasinier vient vers moi. Certains ne sont pas communicables pour le moment : En cours de restauration. Bon, pas grave, je vais faire avec les autres, cela devrait quand même m’avancer. Besoin de consulter les registres paroissiaux des paroisses Saint Sernin et Saint Etienne. Je note mes cotes et je commence à commander. La présidente de salle vient me voir : Pas possible. Les registres paroissiaux sont partis à la numérisation. Bon, qu’est-ce que je fais ? Les Archives Départementales commencent plus tardivement pour les paroisses qui m’intéressent. Je suis donc bloqué pour le moment. Plus qu’à attendre que les registres reviennent. Une petite voix me disait, depuis que je savais que j’allais sur Toulouse, de commander des bobines à la salle des microfilms des AD. Pas voulu l’écouter. Tant pis pour moi !