Je viens de lire un article dans le dernier numéro d’Archimag, article sur le web. J’ai ainsi appris que le web était divisé en trois segments. Pour moi, le web, c’était le web; point. Eh bien non ! Il est divisé en trois segments : le web visible : les pages indexées par les moteurs Internet. les bases de données à caractère professionnel demandant un identifiant ou un mot de passe les communautés : forums, blogs et les sites très professionnels. Visiblement (si je puis dire), ce sont les deux derniers segments qui intéressent les documentalistes. Ils parlent de « web invisible ». Pour eux, ce web invisible ce sont donc des documents mal ou non indexés par les moteurs de recherche conventionnels. Ce qui les intéresse, ce sont : Les informations incluses dans des bases de données nécessitant de remplir un formulaire de critères de recherche. les sites exigeant une authentification afin d’accéder au contenu. les pages protégées par une balise. En y réfléchissant, je suis persuadé qu’il existe énormément d’informations dans les différents blogs généalogiques, les différents forums, qui permettraient parfois de connaître l’actualité en temps réel sur des projets, de connaître des réactions aussi en temps réel sur ces mêmes projets. Voire tout simplement de prendre la température du monde généalogique. Je suis persuadé que ces informations, si elles étaient indexées correctement, intéresseraient les différents professionnels de la généalogie et leur permettraient de mettre en place de nouveaux chantiers pour améliorer la recherche généalogique sur Internet encore et toujours. Tenez, une réflexion comme cela : quand je cherche mon nom sur Google, je trouve plusieurs dizaines mentions de mon blog mais elles sont toujours sous le même intitulé : « Généalogie Blog ». Alors que mes notes sont différentes, elles n’ont pas sur Google des noms différents. Faites l’expérience, vous verrez. Mais pour le moment cela n’existe pas. Qui s’y lance ?