C’est le titre de l’éditorial de Gérard Touati dans le numéro de décembre/janvier du Nouvel Entrepreneur. Dans cet éditorial, il dit que vivre sur des rentes de situation est un temps bien révolu. Dans le dossier sur l’innovation, paru dans ce numéro, il y est dit un point important, point que je suis en train de vivre actuellement. Dans ce dossier, il est dit qu’il est très imprudent d’avoir un raisonnement du type : « nous allons faire cela car personne ne l’a jamais fait auparavant ! ». Pourquoi cela n’existe-t-il pas actuellement ? Quelles peuvent en être les raisons ? Le marché est-il prêt à accueillir le projet, qui peut être un bon projet mais trop prématuré ou une mauvaise bonne idée ? Ce sont les questions que je me pose actuellement. Je vous avais parlé de mon idée de « généalogie et SMS ». L’idée me paraît bonne. J’ai posé la question à mes collègues professionnels et à un certain nombre de professionnels de la généalogie (rédacteurs en chef des revues génalogiques paraissant en kiosque, spécialistes de l’Internet) avec qui je suis en contact. Suite à cela, mon idée est en train de se malaxer dans ma tête. Ce qui est plutôt bon signe, vu mon mode de fonctionnement. Cela prouve que je suis en train d’avancer sur mon projet. En fait, il va sans doute se modifier, notamment en ce qui concerne le public à qui je le destinais au départ. Leurs réponses me font en effet avancer dans mon questionnement. La première de leurs réponses : le marché est-il prêt à accueillir cela ? Pour qui ? J’ai trouvé un partenaire pour cela. Mais je crois que ne pas se précipiter est une bonne solution. Ai-je fait le tour de toutes les problématiques ? Je ne crois pas. Je suis par contre sûr que c’est dans ce sens-là qu’il faut aller si la généalogie familiale veut se développer financièrement et continuer à évoluer.