Je vous avais parlé dans une de mes précédentes notes du rapprochement en cours entre les généalogistes successoraux et les généalogistes familiaux. J’avais notamment parlé d’une certaine étape trois, bien mystérieuse. Vous aurez une petite indication la concernant dans le prochain numéro de la Revue Française de Généalogie. Je me rends compte que cette étape n’est pas forcément une étape simple. Pourquoi ? Les généalogistes familiaux sont des historiens de formation pour la plupart qui sont en train d’inventer leur métier. La prospective y entre pour une grande part. Les généalogistes successoraux sont des juristes de formation. Ils ont un cadre : le droit des successions. Cette simple différence fait que, parfois, les opinions peuvent être incompatibles, les points de vue divergents pour être moins catégorique. Les faire travailler à égalité n’est pas forcément simple. Un autre point de divergence : pour le moment, le CA HT des familiaux est bien moindre que celui des successoraux. Financièrement, ils n’ont pas le même poids. Mais le fait est que les familiaux, à mon sens, ont beaucoup plus de latitude que les successoraux pour augmenter leur CA HT. En effet, ils n’ont aucun cadre contraignant et beaucoup de liberté s’ils le veulent. Mais personnellement j’y crois si chacun veut bien s’en donner les moyens. A suivre…