Le temps du mémoire collectif, c’est aussi un temps de convivialité. Et les étudiants des différentes promotions n’hésitent pas à en profiter. Se retrouver le soir à déguster des desserts comme celui-ci dans un bar à tapas nîmois (merci Coline pour vos toujours excellentes adresses), cela ne se refuse pas. Et parfois les promotions laissent une trace de leurs passages (N’est-ce pas Fabien ?). Le temps du mémoire collectif, c’est aussi un temps de retrouvailles. Et là encore, jusqu’à présent personne n’a hésité, même si certaines promotions sont plus « fêtardes » que d’autres ou ont plus envie ou plus les opportunités de se retrouver. Je ne sais pas quel est le bon mot. Mais c’est toujours agréable de les retrouver, de savoir ce que ce DU leur a apporté. Ce qu’ils sont devenus. Ce qu’ils ont envie de devenir. S’il y a une possibilité de les aider. Ou pas. Le temps du mémoire collectif, cela se passe juste avant la quille. Avant que tout le monde ne retrouve ses pénates. Un ultime moment tous ensemble pour les dernières fois. Ce n’est pas rien ! Je ne connais, pour le moment, personne qui ait regretté de l’avoir fait. Ou alors il est bien caché. Mais je crois que des moments comme ceux-ci, cela vaut la peine.