Il nous arrive parfois, à ma collaboratrice et à moi-même, de tomber de tomber sur des scrogneugneu de rogntudju de recherches. Un exemple ? Casimir François T. Nous savons qu’il est né le 30 mars 1857 à S G (Tarn) et qu’il s’est marié le 27 septembre 1887 à S G avec Marie Joséphine Germaine R. Nous savons qu’à la mort de son fils en 1898 il est toujours en vie, de même qu’au mariage de sa deuxième fille en 1913. Ces informations-là sont sûres. C’est ensuite que les ennuis commencent. Les tables de succession nous disent qu’il est décédé le 13 juin 1942 (le nom est mal écrit, deux communes sont possibles). Vérification auprès des deux communes. Nada ! Qu’à cela ne tienne. La table de succession nous dit qu’il y a une déclaration de succession. Allons donc la consulter ! Ce n’est pas lui mais un homonyme. La date de décès est différente, le nom de son épouse aussi. Les impôts se sont emmêlés les pinceaux entre Casimir François T et François Casimir T, tous deux connus sous le prénom de Casimir. A-t-on idée aussi ! Il a peut-être fait l’armée ce brave homme. Sait-on jamais, cela peut nous donner une piste, notamment s’il a déménagé. Vérification sur les registres matricules : il n’a pas fait l’armée ! Les listes électorales ? Rien non plus. Le registre du cimetière ? Pas mieux ! Les tables décennales de sa commune de naissance (il peut être décédé au même endroit) ? Il n’y est pas. Les registres de catholicité ? Sait-on jamais si on pouvait y trouver une information. Toujours rien ! Le recensement de la commune où sont nés ses enfants ? Il n’y est plus après la première guerre mondiale. Les communes où sont nés ses petits enfants ? Eh bien non plus ! Un grand mystère pour le moment. Mais nous sommes des chercheurs têtus. Il ne va pas nous échapper longtemps. Je ne sais pas encore comment mais on va le trouver ! Il ne va pas passer longtemps entre les mailles de notre filet, je vous le dis. Sus à Casimir François T !