Je faisais des recherches sur Valence d’Albigeois quand, tout à coup, je suis tombé sur cet acte : Le 3 septembre 1702 a été baptisée Catherine Puech, fille légitime de Jean Puech et de Marie Courbière, née la veille, à qui on a imposé le prénom Christine. Son parrain Jean Puech, oncle, marraine Christine Puech sa grand-mère. Ah ! Relisons, on ne sait jamais. C’est la fin de la journée, deux ordinateurs se sont déjà éteints sans que je le leur demande alors que je travaillais dessus, avec impossibilité de les rallumer, l’imprimante m’a imprimé mais sans me sortir de document, pourquoi pas un acte farfelu en plus ? Cela ne me choquerait plus. A été baptisée Catherine Puech à qui on a imposé le prénom Christine, je ne me suis pas trompé. C’est bien ce qui est écrit sur l’acte. Restons zen : allons voir sur l’autre registre paroissial comment elle se prénomme cette demoiselle nouvellement née. Au double du greffe, l’acte est normal, elle se prénomme Christine. Tout va bien ! Que s’est-il donc passé ? Nous sommes au début du mois de septembre, notre curé aurait-il déjà abusé du vin de messe nouveau ? Et surtout, je mets quel prénom ? Dois-je tenir compte du prénom Catherine ou pas ? J’ai décidé, parce que dans ces cas-là il faut bien prendre une décision, de lui laisser ce prénom de Catherine et de la noter comme Christine Catherine Puech. Je ne sais si c’est la bonne décision mais au moins, il me semble que les deux actes sont respectés.