Je reçois parfois des messages dans lesquels je sens l’urgence vitale de la situation. Où je suis vraiment le dernier recours. Il faut le gérer. Ce n’est pas toujours simple. Un exemple ? Une cliente m’écrit pour quelqu’un d’autre. La personne pour qui je vais travailler, qui n’est pas ma cliente, est atteint d’une maladie mortelle, au stade terminal. Elle veut léguer les recherches généalogiques qu’elle a faite à ses descendants. Mais le temps, et sa maladie, courent plus vite que les recherches qu’elle est encore en capacité de faire. Résultat : le bébé m’est refilé pour pouvoir les terminer. Je ferais la touche finale. Bon !!! D’accord !!! J’ai le droit de déglutir ? Je ne sais pas si vous sentez l’urgence de la situation mais personnellement je la sens bien. Waouh !!! La pression est là. Pas le moment de se louper ! Il va me falloir gérer tout cela. Et cela ne va pas être simple. Mais pas simple du tout. Ce sont des situations extrèmement rares heureusement. Mais stressantes au plus haut niveau. A mon sens, c’est quelque chose qui ne peut pas être géré seul. Mais avec une aide professionnelle. Pour raison garder. C’est rare, je l’ai déjà dit. Mais cela fait aussi partie des aléas du métier.