Je vais donc travailler à nouveau avec quelqu’un. Ma manière de travailler, de l’intégrer, sera différente de ce que j’ai pu faire jusqu’à présent. Sans doute parce que j’ai mûri. Et son arrivée va me permettre d’avancer des projets en attente depuis 2 ans. Alors, je sais, certains travaux qu’elle m’aidera à faire ne sont pas des plus fun. Un exemple ? Comme le disait Maïwenn dans son commentaire sur le blog de Jérôme Blanc (dans sa note où il explique que la numérisation c’est tuer la poule aux oeufs d’or), autant l’indexation nominative n’est pas utile à un archiviste, autant elle peut l’être pour un généalogiste professionnel. Entre autres. C’est pas fun, on ferait pas ça tout le temps à longueur de journée, mais à petite dose homéopathique, au milieu d’autres travaux, cela peut passer. Et puis le travail de généalogiste, pour moi, ce n’est pas que de la recherche pour les clients. C’est aussi la recherche des clients. Et si une recherche passive peut être mise en place… C’est autant de temps consacré à pouvoir les satisfaire. Donc à partir du 2 août, une nouvelle aventure commence.