Vu le nombre de questions, je pense que cela peut être plus intéressant que je vous réponde par le biais d’une note afin que d’autres puissent en profiter. Je pense même que cela va prendre plusieurs notes. Convaincre le conjoint qu’il ne s’agit pas que d’une lubie et que la généalogie n’est pas qu’une passion de vieux va être le plus difficile. J’en parle par expérience. Vous allez donc commencer par cela et oubliez l’auto-entrepreneur au moins dans un premier temps. Parce que passer de salarié à entrepreneur n’est pas une chose simple, innée. C’est véritablement de l’acquis. Passez plutôt par une couveuse, une pépinière, une coopérative d’entreprise, ou toute autre chose dans ce style pour solidifier vos bases. Faites-vous accompagner. Ce peut être aussi votre Chambre de Commerce ou la boutique de gestion du coin. Je me fous de la structure, disons-le clairement, mais pas de l’apprentissage, pas de l’accompagnement. C’est vraiment hyper-important. Blois ne sera qu’une solution partielle, qui va vous donner des pistes. Mais ne fera pas à votre place, n’apprendra pas pour vous. A ma connaissance, elle peut être prise en charge, partiellement. Convaincre le conjoint va prendre des années. Cela fait neuf ans que je fais ce métier, huit ans que je vis en couple et que mon conjoint n’est toujours pas convaincu. C’est dire l’ardeur de la tâche. Apprenez à être entrepreneur. Vraiment ! Oubliez les 40 000 €. Vous avez une voiture, un ordinateur, du papier ? C’est suffisant comme budget de départ. Le site vous verrez plus tard. Quand vous aurez éclairci ce que vous voulez proposer à vos clients. Quand vous saurez votre zone de chalandise. Pouvez-vous vous absenter plusieurs jours de file, voire une semaine entière ? Cela ne va-t-il pas gêner vos trois garçons ou votre mari ? Votre étude de marché sera en fonction de ce choix géographique de déplacement. La fréquence des déplacements hors département, c’est vous qui la choisissez. Allez interroger les généalogistes déjà installés de votre secteur et en fonction, choisissez votre secteur, vos services. Qu’est-ce que vous allez apporter pour que des clients viennent, AD en ligne ou pas ? Voilà ce que je peux vous dire pour le moment. Je réfléchis aux autres questions et je vous fais une nouvelle note dans la foulée.