Possédant l’ascendance de Pierre Mondy (d’origine tarnaise), j’ai proposé à Charles Hervis de la RFG de publier celle-ci. Vous devriez pouvoir la lire dans le numéro de février-mars. Il me semblait normal de prévenir Pierre Mondy de ma démarche, par le biais de son service de presse. J’étais persuadé que seul son service de presse me répondrait. Tel ne fut pas le cas. Déjà, alors que j’avais ma stagiaire lycéenne, il avait pris la peine de me téléphoner quelques minutes pour me remercier une première fois. Je n’avais réalisé qu’au cours de l’appel à qui je parlais. Je ne m’y attendais tellement pas. Son appel m’avait permis de compléter quelques points de son ascendance. Le sentant intéressé, je lui avais proposé de lui envoyer son ascendance paternelle qu’il ne connaissait quasiment pas. Ce que je viens de faire. Je me suis dit que c’était le bon moment, pour Noël, quand toute la famille se rassemble. Il vient de me rappeler. Cela lui a fait plaisir et le terme est faible. La conversation a duré peu de temps et, une fois de plus, il m’a donné quelques renseignements qui pourront compléter l’article. C’est clair, je lui ai ouvert une porte : il a découvert par exemple les frères et soeurs de son grand-père. Il n’en connaissait aucun. Il s’imaginait du coup les cousins relativement proches qu’il ne connaissait pas plus. Il n’a eu de cesse de me répéter que c’était très impressionnant. Si je puis me permettre cette comparaison, un enfant devant une friandise (même s’il est né en 1925). En tout cas c’est l’impression qu’il me donnait en l’écoutant. J’ai été ému et en même temps content pour lui. J’ai fait plaisir. Cela m’a coûté quoi, un peu de temps de recherche, le coût d’une photocopie en A0 ? Pas grand chose pour le plaisir que j’ai entendu et qu’il m’a renvoyé. C’est aussi pour cela que je fais ce métier.