Allez zou ! Je sors de rendez-vous avec mon banquier et cela m’a fait du bien. Je me dis, au vu de ce rendez-vous, que si je ne veux pas perdre de temps (et d’argent), si je veux rentabiliser au maximum mes investissements, il n’y a pas 36 000 solutions. Il va falloir aller chercher du financement en plus de ce qu’il peut proposer par le biais de l’emprunt. Cela tombe bien, il y a un groupement de business angels sur Midi-Pyrénées. Le but ? Arriver à leur faire financer au moins deux emplois : un chercheur et une secrétaire. A temps plein ? A temps partiel ? Pour le moment, je ne sais pas encore exactement. Mais ras-le-bol des conseilleurs qui me disent que tout est insoluble ou qui me donnent des solutions inverses. Cela ne me fait pas avancer et cela m’agace. Allez zou ! Je sais qu’il y a au moins cinq mois de procédure, au plus un an avec les business angels. Mais au moins cela ne sera pas du temps perdu. Cela me permettra de bien voir où j’en suis, de chercher des nouvelles solutions par moi-même, de me faire accompagner puisque j’en ressens le besoin mais de personnes qui ont elles aussi les mains dans le camboui. Bosser de 8 h 30 à 23 h tout le temps, cela va un moment. Mais j’ai aussi une vie à côté de la généalogie et je ne veux pas l’oublier. Même si ce que je fais me passionne. Même si je m’y éclate. C’est le moment d’y mettre tout mon enthousiasme, de le leur communiquer pour que la procédure s’enclenche et me serve. Le but ? Arriver à faire financer au moins deux emplois. Je sais que j’en suis capable et qu’il y a du travail derrière. Que ce ne seront pas des emplois créés pour mon plaisir. Alors, je retrousse les manches et j’y retourne !