Dans Les Echos du 18 janvier, j’ai pu lire un article très intéressant de Nicole Buyse et Clotilde Briard sur le m-commerce. Le m-commerce, c’est la vente par l’intermédiaire du téléphone portable. Apparemment, cela séduit de plus en plus les grands acteurs de la vente sur Internet. Pour certains, il s’agit d’une déclinaison du Web adaptée au portable. Ou comment ne plus avoir besoin de son ordinateur pour pouvoir commander ? Commander où que l’on veuille, où que l’on soit. Aucune des grandes enseignes qui s’y est mis ne sait ce que ce m-commerce va donner. Est-ce un nouveau gadget ? Une nouvelle façon de consommer ? Pour toutes en tout cas, dans une logique multicanal, il faut « en être » comme elles disent. Pourquoi ? Afin de trouver de nouveaux canaux de croissance, de nouveaux publics. Pour pouvoir répondre au plus près à l’achat impulsif, irréfléchi, à une envie irrépressible. Saisir les moments aussi privilégiés, comme Noël, les anniversaires ou le premier jour des soldes. Pourquoi pas ? Pourquoi ne pas vendre des données généalogiques par ce biais ? Les salles d’archives n’ont pas forcément une connexion wifi. Rarement même. Par contre, les lecteurs ont presque tous un téléphone portable. Vous êtes bloqués lors de votre recherche ? Et si vous pouviez récupérer les données déjà existantes sans attendre le soir, sans attendre de rentrer chez vous, de vous connecter ? Histoire de vous libérer l’esprit ? Et pourquoi pas ? Après tout, si les grandes enseignes s’y mettent … A l’heure actuelle, en y réfléchissant, ce qui me chiffonne, c’est le coût pour pouvoir mettre cela en place. A mon avis, il faut avoir les reins solides financièrement. Mais sinon…