Nous avons rencontré hier matin, Christophe et moi, le remplaçant de notre expert-comptable. Le cabinet a été vendu avec la clientèle et le personnel. Le remplaçant voulait connaître les clients les uns après les autres. Normal. Une fois de plus, nous avons rencontré quelqu’un qui ne connaissait pas notre activité. Normal, nous avons l’habitude. L’heure de discussion a été prolifique. Cela a permis de lever le nez du guidon. Pour lui, il faut arriver à saucissonner les activités. Faire en sorte qu’elles soient rentables et faciles à trouver pour le quidam, qu’il s’y connaisse en généalogie ou pas. Ce n’est pas toujours simple, il en convient. Mais quand cela est possible, autant le faire. Ainsi, pour notre activité, plusieurs possibilités sont envisageables pour rendre rentables nos sites-marchands : Mettre en place un partenariat avec les différentes communes de notre région ayant un site Internet, partenariat à partir de nos listes-éclairs. Le but ? Faire parler de notre site, récupérer les demandes généalogiques qui peuvent arriver chez eux. Pour eux, cela leur fait un travail en moins et cela fait vivre aussi leur site. En fonction des visites, du nombre de clics, mettre de la publicité. Pas n’importe qui. Pas n’importe comment. Pas à n’importe quel prix. Le but n’est pas de vendre son âme au diable. De même, toujours dans le cadre de la rentabilisation, pourquoi ne pas mettre en place des partenariats avec les universités, les écoles pour proposer des stages ? Stage en documentation ou en secrétariat par exemple. Cela permet d’avoir du personnel à moindre prix, assez vite opérationnel. Et cela permet aussi de faire connaitre différemment son entreprise. Une heure d’entretien que, personnellement, j’ai trouvé rentable. Y’a plus qu’à !