Tout le monde croit en SOS Généalogie. Mais si nous voulons que cela marche, il n’y a pas beaucoup de solutions : il faut faire connaître le service. Une bonne idée inconnue n’est pas une bonne idée. Personellement, je vois cette communication vers deux directions : Les journaux grand public qui ont régulièrement écrit sur la généalogie, dont le thème revient régulièrement en couverture ou pas. Les journaux à caractère économique. Le monde de la généalogie bouge, les grandes manoeuvres ont commencé. Sans trop se la péter et sans que cela pue trop, restons modestes, mais l’innovation qu’est SOS Généalogie fait très modestement partie de ces grandes manoeuvres. Seulement qui s’intéresse à la généalogie en tant que secteur économique ? Pourquoi ne pas le leur montrer ? Pour bien les joindre, je ne vois qu’une solution : investir. Acheter un exemplaire de chacun pour avoir leurs « ours » et savoir exactement à qui il faut adresser le courrier ou l’e-mail. Le but ? Sortir de nos relais habituels. A mon sens, en deuxième vague, si nous arrivons à toucher suffisamment de presse écrite, il faudra alors s’intéresser aux autres médias. Toucher la télévision ou la radio peut être prématuré actuellement. Quoique… Ce peut être l’inverse qui se produise. Un reportage sur un média peut enchaîner des articles sur d’autres. Qu’en savons-nous exactement ? Bref : je crois que nous allons tirer tous azimuts. Quel est le risque ? Dans tous les cas, l’essentiel est une fiche presse courte et informative. Jérôme nous l’a écrite avec talent.