Après une semaine d’interruption pour cause de déplacements divers dans tous les départements Midi-Pyrénéens autour du Tarn, je reviens vers vous. Avoir un associé c’est bien, cela me facilite la tâche. Mais c’est deux fois plus de travail aussi. Mais bon, je ne vais pas me plaindre. Actuellement, nous mettons en place un projet qui, pour certains avec qui j’en ai discuté, peut être un projet rémunérateur, autant que le Minitel en sont temps. Mais bon, restons modestes, essayons simplement de le mettre en place. Au départ, nous ne devions être que deux. Depuis, il y a eu des modifications. Ce projet est issu de ma réflexion sur les liens possibles à instaurer entre la généalogie et les téléphones portables. Au fil et à mesure des conversations, avec diverses personnes, ce projet a mûri, s’est transformé, a évolué. Bref, entre l’idée de départ et l’idée actuelle que nous mettons en place, pas grand chose à voir. Au début, nous ne devions être que deux donc : mon associé et moi. Et puis, le fournisseur avec qui je travaille me dit que nous pouvons être jusqu’à cinq pour le même prix. Autant alors profiter des compétences et des connaissances de généalogistes reconnus avec qui je voudrais travailler et que je connais bien. Je l’ai proposé à Frédéric Deleuze, généalogiste dans l’Hérault, et aux deux anciens présidents de la CGP : Jérôme Malhache et Patrick Gossein. Ils ont bien sûr accepté. Cela devrait permettre d’ouvrir au maximum les plages horaires et de nous partager celles-ci. Certes, nous partagerons aussi les bénéfices. Et alors ? C’est bien cela le partenariat, non ? N’oublions pas que nous partagerons aussi les frais. Mais un nouveau problème surgit : comment différencier nos appels personnels des appels reçus par ce biais, dans une même journée de travail ? Comment mettre en place une facturation détaillée avec cinq numéros de téléphones différents ? Actuellement, mon fournisseur est en train de résoudre ces questions. Mais cela avance, c’est l’essentiel. Cinq à y réfléchir dessus, c’est mieux que d’être seul dans son coin. Cela permet de n’oublier aucun détail. Croisons les doigts. Mais il me semble bien parti. Par contre comment le protéger ? Je ne le sais pas encore.