En discutant avec d’autres professionnels, je me rends compte que chacun aspire à un meilleur rapprochement entre les généalogistes familiaux et les généalogistes successoraux. Il semblerait qu’une troisième étape apparaisse bientôt à ce sujet. Je m’explique. L’étape zéro : chacun restait dans son coin et personne ne communiquait vis-à-vis de l’autre, voire même regardait l’autre en chien de faïence. L’étape une (qui à mon avis était parallèle à l’étape zéro) : les généalogistes successoraux (parce qu’ils y gagnaient au départ financièrement) acceptèrent de faire travailler les familiaux sur certains points précis de leurs dossiers. Plutôt que d’envoyer une personne, autant que ce soit le familial sur place qui s’en charge et qui facture. L’étape deux : la création de l’USGP. J’en ai déjà parlé mais depuis deux ans, ce fut une grande étape. Tous les généalogistes, qu’ils soient familiaux ou successoraux, ont accepté de se parler autour d’une table. L’étape trois : Elle devrait apparaître d’ici quelques semaines. Je vous en parlerais plus à ce moment-là. Sachez simplement que pour la première fois, des familiaux et des successoraux, membres d’une même chambre mais ce n’est qu’un pur hasard, ont accepté de travailler ensemble, à égalité, sur un projet commun. Je crois que ce projet, qui va sortir sous peu, devrait intéresser notamment un cabinet de généalogistes successoraux (il se reconnaîtra, du moins son directeur parisien) qui avait postulé dans une chambre justement pour cette raison. A mon sens, cela montre vraiment que les mentalités ont changé du tout au tout.