Je suis actuellement entre deux eaux : mon ancien webmestre me détruit mes sites puisque je ne renouvelle pas mon contrat chez lui sans attendre que les nouveaux soient pleinement construits et opérationnels. Du coup, j’ai deux sites, mes deux sites principaux, celui de l’étude et de ma base de données qui ont temporairement disparu. C’est là que je me rends compte combien être présent sur Internet est important. Cette situation est temporaire, certes. Mais préjudiciable à mon chiffre d’affaires. Et j’ai horreur de cela. Mon nouveau webmestre est aussi organisme de formation. Afin de pouvoir optimiser au maximum les nouveaux sites, il a proposé de me former sur certaines parties pour que je puisse avoir la main, mais de manière correcte, formé. Je suis donc en train de chercher des financements pour cette formation. Quelle galère ! Il n’y a pas d’autres mots. Galère. Le FIFPL, qui est mon OPCA, c’est-à-dire mon organisme de financement des formations, a donné un avis favorable pour 400 €. C’est bien, je suis ravi mais par rapport au coût de la formation, c’est peu. Reconnu travailleur handicapé, je pensais pouvoir trouver un cofinancement de la part de l’AGEFIPH. Mais apparemment cet organisme ne cofinance que pour les travailleurs handicapés qui s’installent ou qui changent d’orientation professionnelle. Je n’entre dans aucune de ces catégories. Donc raté. L’AGEFICE (association gérant le financement des formations des chefs d’entreprise) ? Pas possible non plus puisque mon code NAF dépend du FIFPL, pas de celle-ci. ET si l’un finance, l’autre ne peut pas le faire. Le Droit Individuel à la Formation ? Je ne suis pas sûr d’y avoir droit puisque je ne suis pas salarié. Mais je vérifie. J’ai écrit à l’UNAPL pour avoir d’autres tuyaux éventuels parce que là, je commence à manquer d’idées. Je n’aurais jamais cru que pour une profession libérale installée ce soit aussi compliqué. Mais j’y crois toujours. Il n’existe que des solutions. Si vous avez des idées à ce sujet, je suis preneur.