Le fait de discuter avec les stagiaires m’a fait réfléchir à nouveau sur la hotline. Elle avait été arrêtée quand l’association avait été arrêtée. Mais les stagiaires ont abordées ce sujet, spontanément. Plusieurs idées sont rerssorties de la discussion : Tout d’abord les gens n’ont plus l’habitude de payer du téléphone. Créer une ligne payante était sans doute une erreur. Qui plus est, elle n’était pas rentable. Selon elles, il faudrait que cette ligne reste, elle a son utilité, mais qu’elle soit gratuite, de box à box. Ensuite, elle était sans doute trop contraignante. L’ouverture toute la semaine, sachant que nous étions chacun bloqués un ou deux jours, était peut-être trop pour le départ, entraînant des appels dispersés. Par contre, une ouverture un jour par semaine, un jour uniquement consacré à cela, pourrait permettre de regrouper les appels. Reste à savoir quel jour serait le plus intéressant. Appeler quelqu’un quand on a un blocage est, selon elles, une bonne idée. Apparemment cela aurait un double avantage : pour le professionnel, un moyen de grandir en réputation ; pour les appelants un moyen de mieux connaître le métier de généalogiste, de l’approcher sans peur, de profiter de ses conseils et de raccrocher plus serein car quelqu’un a donné une réponse à leurs interrogations. Maintenant, cela suffit-il pour ranimer la flamme ? Qu’en pensez-vous ?