Je viens de lire un article très intéressant basé sur le travail de Marc Prensky, spécialiste d’Internet. Selon lui, il y a deux générations face à Internet : les Digital natives et les Digital Immigrants. Si vous préférez, ceux qui sont nés alors qu’Internet existait déjà et qui savent s’en servir les yeux fermés et les autres. Les autres qui ne sont pas naturellement préparés aux moyens des technologies modernes. Les autres qui ont appris à s’en servir, voire même qui ont pris des cours pour cela, rendez-vous compte ! Ceux qui ont plus de 20 ans, allez 30 pour vous faire plaisir. L’article est intéressant parce qu’il compare les deux dans leur manière d’utiliser Internet. Et donc, dans la manière dont on doit présenter différemment Internet sans le montrer. Sans le montrer pour que les plus de 30 ans ne se sentent pas pris pour des pèquenots. Vous le savez, j’ai parfois tendance à exagérer pour faire passer le message. Mais vous voyez ce que je veux dire. Nous, les Digital Immigrants, nous avons besoin d’un traitement linéaire, pas à pas. On va chercher l’information pour le travail pas pour le plaisir d’être connecté. Nous avons besoin d’un traitement pas à pas, hiérarchique et le texte est quelque chose qui vient en premier. Je mets toujours mes lectures en perspective par rapport à ma clientèle, à sa satisfaction. Parce que, pour un professionnel, c’est quand même cela l’important. Donc question : ma manière de présenter mes sites est-elle compatible avec la manière qu’a mon public d’utiliser Internet ? Il me semble que oui mais n’y a t-til pas toujours possibilité d’améliorer en connaissant ces différences ? Autre question, tout aussi importante : Si je veux toucher un public plus jeune, comment mettre en place quelque chose qui leur corresponde sans effrayer le public habituel de la généalogie ? Les jeunes d’aujourd’hui ne sont-ils pas mes clients potentiels de demain ? Pour le moment, il ne s’agit que de pistes de réflexion.