Je tiens à préciser que je ne suis pas généalogiste successoral mais généalogiste familial. Mes réponses par rapport à vos situations ne seront que des réponses « logiques ». En clair, si j’étais dans la même situation que vous, qu’est-ce que je ferais pour obtenir des réponses qui me conviennent ? A Ah-Thon Erika : Personnellement, sans réponse à mes questions de la part du généalogiste successoral, je les lui enverrais sous pli recommandé. Qui votre neveu représente-t-il : un de ses parents est-il décédé ? Il est votre neveu comment : fils de votre frère ou de votre soeur, neveu de votre conjoint ? Comment héritez-vous ? Est-ce un parent éloigné qui vous est inconnu ou bien est-ce un parent de votre conjoint ? Voilà, entre autres, les questions que je poserais en exigeant une réponse de sa part et en lui donnant un délai pour sa réponse. Cela ne va pas lui plaire du tout mais après tout, vous êtes un client potentiel donc quelqu’un qui a droit à des réponses. Le généalogiste a un devoir de vous répondre. Cela s’appelle rassurer le client. A Delphine : Je crois que le plus simple pour vous, c’est d’envoyer une candidature spontanée aux grands cabinets sur Paris : Maillard, andriveeau, Coutot-Roehrig. vous pouvez faire de même avec le cabinet Guenifey à Dijon et voir quelles seront leurs réponses. Je ne peux malheureusement pas me prononcer à leur place. A Rosinga : Oui, le notaire a le droit de désigner un généalogiste sans accord des héritiers. Dès qu’il suppose qu’une situation n’est pas claire et qu’il faut la vérifier, il mandate un généalogiste qui devient votre interlocuteur.