Une de mes consoeurs est confrontée à un problème : l’association généalogique amateur de son secteur est très vindicative commercialement parlant. Elle pose la question : comment réagir ? Comment différencier amateurs et professionnels ? Que peut-on faire contre cela ? J’ai personnellement quelques éléments de réponse. Personnellement, je pars du principe qu’il faut attaquer avec les mêmes armes. Voyons ce que propose le cercle amateur et proposons exactement pareil. La différence entre eux et moi ? Je suis professionnel donc je consacre huit heures minimum par jour, 5 jours minimum par semaine à la recherche généalogique. Ce n’est pas le cas des amateurs. Au bout d’un moment, j’aurais accru mes compétences dans ce domaine bien au-delà qu’eux. Deuxième principe : je suis professionnel. Donc j’ai le droit de faire du commerce. C’est peut-être bête à dire mais certains de mes confrères l’oublient. Ce n’est pas le cas des associations. Donc j’en fais. Innovons, innovons, il en restera bien quelque chose. Construisons de la notoriété. Restons pro-fes-sion-nel. Allons sur un terrain où les amateurs ne pourront pas suivre à moins de prendre un procès pour travail illégal et perte de leur statut association à but non lucratif. Cela veut bien dire ce que cela veut dire. Je ne suis pas une association à but non lucratif. Je ne joue donc pas dans la même cour qu’eux. J’ai le droit de faire du commerce ! Je me suis inscrit pour cela ! Je paie des charges pour cela ! Pas eux ! Agir en terme de lobbying auprès des politiques ? Personnellement je n’y crois pas trop pour le moment. Accroissons d’abord notre poids économique, devenons des éléphants. C’est curieux comme de suite les politiques nous entendront plus. Pour le moment, c’est la seule réponse que je peux apporter à ce type d’interrogation. Seriez-vous d’accord avec mes arguments ?