1/Stéphane Cosson
Généalogiste professionnel depuis août 2000.Chargé de cours à l’Université de Nîmes : DU « Généalogie et histoire des familles » et Licence Pro « Agent de Recherche Privé ».

Publication d’articles dans la Revue Française de Généalogie, dans Votre Généalogie et dans Généalogie-Magazine.

DESS Techniques d’archives et de documentation (Mulhouse, Université de Haute-Alsace).

Maitrise d’Histoire (Toulouse, Université Jean Jaurès).

DEA Anthropologie sociale et historique de l’Europe (Toulouse, EHESS).

DESS Sociologie appliquée au développement local (Lyon, Université Lumière)

2/Anne Pichard

Généalogiste professionnelle depuis août 2010.

Doctorat d’Histoire (Paris, Université Paris IV-Sorbonne).

3/Nos Travaux universitaires

La maîtrise d’Histoire de Stéphane Cosson et son DEA d’Anthropologie ont porté sur le village de Cadix, canton de Valence d’Albigeois (Tarn) et plus particulièrement sur les mariages entre cousins de 1600 à nos jours. Pour ce travail, les registres paroissiaux de l’Ancien Régime étant très lacunaires, il a dû reconstituer l’état civil des habitants en se servant des registres de notaires. Il a également utilisé les dispenses de parenté qui se trouvent dans la série G aux Archives Départementales.

Pour la période de la Révolution à nos jours, il a eu l’occasion d’explorer les registres de catholicité aux Archives diocésaines et de se livrer à de nombreuses interviews de personnes. Il a eu aussi accès aux enquêtes paroissiales menées par les prêtres dans leurs paroisses à la demande des évêques.

Le DESS de Sociologie proposa une réflexion sur un chantier d’insertion « Petit Patrimoine et Mémoire Locale en Ségala Tarnais ». Une dizaine de personnes hors du monde du travail s’employèrent à relever tous les fours, croix, moulins des 47 communes du SégalaTarnais et à questionner les personnes de plus de 70 ans. Un compte-rendu par commune devait être fourni à l’issue de ces deux activités.

 

Anne Pichard a toujours mélangé deux passions : Histoire et musique. Ainsi sa maîtrise en Histoire porta sur l’opéra en France entre Lully et Rameau. Son doctorat a eu pour sujet la vie et l’oeuvre de Michel Pignolet de Montéclair (1667-1737) qui s’illustra dans tous les genres de musiques en vogue à l’époque, mais aussi dans l’enseignement, ce qui en fait un témoin précieux pour l’interprétation de la musique baroque française. Elle a eu alors l’occasion d’aller aux Archives de la Haute-Marne, pour l’histoire de sa famille et de sa formation musicale à la Psallette de Langres, au département musique de la Bibliothèque Nationale, ainsi qu’aux Archives Nationales, et plus particulièrement au Minutier Central des notaires parisiens où sont conservés son testament et divers inventaires.