En ce début d’année, maintenant que la rentrée a eu lieu, peut-être serait-il intéressant de faire le point. Savoir où j’en suis pour savoir où je vais.

 

1/Les ouvrages :

 

Celui sur les Toulouse-Lautrec  va prendre beaucoup plus de temps que prévu, maintenant que je me rends compte qu’il va falloir refaire toute la recherche pour toutes les branches connues, en plus de vérifier  les Lautré d’Ariège/Haute-Garonne, les Lautrey/Lautrec de Côte d’Or/Savoie/Haute-Saône, les Lautrec de Dordogne/Gironde.  Sans compter les Delautre du Nord Pas-de-Calais (les de Lautrec transformant leur nom assez souvent en Delautre et comme j’en ai qui sont partis en Picardie et dans la Somme…). Sans compter les branches déjà répertoriées par moi en Occitanie et qu’il me faut rattacher parfaitement. Je ne vais pas compter les tomes ni les heures. Ce sera plus simple.

 

Celui pour Archives et Culture  ? Là aussi il y a du taf. Je suis dans un endroit où plusieurs langues se mélangent, où l’histoire se mélange, sur plusieurs départements qui plus est. Mais bon, je vais y arriver. J’ai déjà quelques idées, un ouvrage très précieux à aller chercher et à m’ingurgiter. Mais je vais apprendre beaucoup. C’est l’essentiel. Il va juste falloir que je commence à mettre à plat ce que je sais déjà. Et j’en sais déjà beaucoup, mine de rien. Comme ça, je pourrais voir ce qui me manque vraiment.

 

2/L’Université :

 

J’y consacre beaucoup de temps mais mes étudiants en valent la peine. Et puis je veux mener à bien les envies que j’ai de ce côté-là. J’ai la chance que, pour le moment, l’Université me suive. C’est en long terme qu’il me faut penser car j’ai une vision très précise de la formation du généalogiste.

 

Cette année, j’ai de nouveaux cours à préparer. Et cela va me prendre du temps. Sans compter ceux que je veux améliorer. Et  me former au fur et à mesure et en fonction des demandes de l’Université à cet égard.

 

Il y a en plus un projet pour lequel j’espère que les contacts vont continuer, un que je veux mettre en place assez rapidement et qui me semble sur de bonnes voies, un autre auquel je pense qui serait encore plus professionnalisant pour ceux qui veulent se professionnaliser. Et je vais continuer de réfléchir en concrétisant.

 

Actuellement, l’Université représente un bon quart de mon temps de travail.

 

3/La clientèle :

 

Importante s’il en est pour le professionnel que je suis. Il va falloir là aussi me former pour mettre en place de nouveaux produits (j’ai quelques idées, il faut que j’en discute avec ma collaboratrice pour avoir son avis). Aller voir un graphiste à nouveau pour ne pas  négliger celle-ci à cause des deux premiers points.

 

Il y a des moments où j’ai l’impression que mes semaines ce sont des Finger de Cadbury. Vous pouvez pas me les faire un petit peu plus longues ? Non ? Dommage ! Parce que, bien sûr,  en plus il y a les émissions radio, le blog, les articles… Mais je m’éclate. N’est-ce pas là l’essentiel ?