Quand on est professionnel, débutant ou pas, se former est quasiment une obligation. Tout d’abord, parce que nos clients, quand ils sont généalogistes amateurs, se forment. Et ensuite, parce que les concurrents se forment aussi.

 

Se former certes mais dans quoi ? A mon sens, principalement dans le coeur de métier : histoire, archivistique, recherches Internet, retouche photo, PAO, évolution de la langue française, géographie historique… Bref tout ce qui va permettre au professionnel d’améliorer sa pratique. Que ce soit en passant par la formation, universitaire ou les MOOC par exemple, ou encore la Validation des Acquis de l’Expérience.

 

Il me semble que tout ce qui est en dehors de ce coeur de métier, par exemple création de site Internet ou comptabilité, il faut en connaître juste le minimum. Car le généalogiste professionnel n’est pas un comptable ou un webmaster. Donc autant connaître le vocabulaire nécessaire pour parler le même langage que le professionnel et  lui confier ses tâches. Cela coûte certes de l’argent mais cela libère aussi l’esprit et surtout du temps. A faire de la veille, autant que ce soit dans le coeur de métier plutôt que de perdre du temps à essayer de tout connaître.

 

Des organismes comme les Chambres de Commerce, l’UNAPL, peuvent apporter des aides pour avoir ce minimum de connaissances.  Bref, un petit plan de formation, un conseil en évolution professionnelle peuvent être utiles pour savoir ce qu’il est possible de faire, comment et avec qui.