Christine Lescène, dans son blog, a écrit un article aujourd’hui intitulé « avoir des bases de données et lesquelles ». Dans cet article, elle dit notamment ceci :
« C’est un refrain que je radotais souvent auprès de mes élèves : si vous n’avez pas de travail, faites des bases de données. Non seulement cela vous occupe, mais en plus, cela vous permet de continuer à travailler la paléographie et à vous constituer une base de travail.
Et aujourd’hui ? Je ne radote plus sur ce sujet. Entre Geneabank, Filae, Geneanet et les centaines de bases de données d’état civil et de registres paroissiaux qui sont en ligne, dépouiller ces documents est devenu une perte de temps pour nous.
La réponse a donc changé légèrement. Continuez à faire des bases de données, mais faites des bases de données intelligentes. Ne dépouillez pas des documents que les cercles généalogiques vont dépouiller ou sont en train de dépouiller. Ils sont plus nombreux que vous et vont donc plus vite. »
Euh… Comment dire ? Un généalogiste professionnel est-il là pour s’occuper ? Il existe des charges sociales qui courent, peuvent peser lourd dans le budget voire nous couler si les recettes ne sont pas en face pour pouvoir les payer.
Ces phrases-là me choquent. Je vais donc pousser un coup de gueule ! Cela ne m’arrive pas souvent mais lire ça me choque profondément ! Et la prospection là-dedans ? Vous savez, ce truc qui permet d’aller chercher de nouveaux clients , et seront véritablement devenus vos clients quand ils vous auront payé leur première facture, qui vont vous faciliter la vie pour payer les charges en face parce que vous aurez alors des recettes pour le faire. Ce qui va vous permettre de pérenniser votre emploi. Elle est où ? Elle est où ?
Faire une base de données c’est bien mais ça ne nourrit pas son homme ! Alors plutôt que de vous occuper, allez chercher le client ! Oui d’accord c’est mieux d’être dans nos chères archives. Mais bon… Il faut faire du chiffre. Nous sommes des P-R-O-F-E-S-S-I-O-N-N-E-L-S. Nous avons décidé d’en vivre ! L’occupation, on verra ça plus tard, à la retraite ! Donc go, direction les salons professionnels (donc qui dit salon professionnel dit communication de type kakémono, cartes de visite, tryptiques, marques-pages et autres. Donc réflexion sur ce qu’on écrit, les messages que l’on veut faire passer), les publicités dans les revues ou ailleurs (attention aux faux annuaires), les mailings ciblés (quels messages là encore ? A qui ? Sur quelles prestations que nous proposons ?), les coups de téléphone ciblés pour savoir si le mailing est bien arrivé et ce qu’ils en pensent, si on peut avoir des rendez-vous… Enfin ce genre de choses quoi !
Oh les gars ! Nous ne sommes pas là pour nous occuper ! Donc réflexion à avoir sur les prestations, les prix, les forces et faiblesses, les avantages et inconvénients du généalogiste professionnel que nous sommes. Qui sont nos clients ? Pouvons-nous les segmenter ? Doivent-ils tous recevoir le même message ? LinkedIn, Viadeo, ça sert à quoi ? On n’y est pas dessus pour y faire de la figuration ! Les outils du marketing, ils sont où là ? Vous n’avez pas de travail ? Allez le chercher ou faites autre chose !
Je le crois pas ! Je le crois pas ! Et c’est une professionnelle qui en forme d’autres qui l’écrit en plus ! Avec ce genre d’opinion véhiculée, je comprends que la profession ne soit pas rentable. Voilà c’était mon coup de gueule du soir. Mais je suis super choqué.
14 réponses à “Le généalogiste professionnel est-il là pour s’occuper ?”
Bonjour,
Comme vous, je trouve cela bizarre mais…je ne trouve pas cet article dont vous parlez ? Pouvez-vous me donner le lien, cela me permettrait de me faire une meilleur opinion…
Merci
Vincente
Je vous serais reconnaissante, lorsque vous me citez, de ne pas sortir mes phrases de leur contexte et surtout, de mettre un lien renvoyant à l’article afin que vos lecteurs puissent se faire leur propre opinion.
Nous n’avons pas du tout la même optique sur la profession ni sur la manière de former les professionnels, cela, je le vois dans vos articles, mais je ne me permets pas de vous interpeller sur ce sujet en public. Je n’ai pas cette incorrection.
Quant à la phrase qui vous interpelle, vouloir faire croire aux futurs professionnels qu’ils seront occupés à temps plein par leur travail est un mensonge qu’ils vérifieront très vite une fois installés.
Oui, il arrive que les généalogistes aient du temps libre une fois qu’ils ont fait tout leur travail, y compris la prospection.
Au cas où vous supprimeriez ce message ou que vous le modifiez, comme cela vous est déjà arrivé, il sera publié sur d’autres réseaux.
Je ne modifie ni ne supprime des commentaires sur mon blog. Je ne sais pas d’où vous le sortez mais depuis que ce blog existe, donc depuis bientôt 11 ans, aucun message n’a été modifié ou supprimé. Tout le monde a le droit de s’exprimer sur mon blog, du moment qu’il reste correct dans ses propos.
Que nous n’ayons pas la même vision du métier, c’est évident de plus en plus. J’ai une vision d’entrepreneur et j’ai décidé une fois pour toutes que je vivrais de mon métier. Ce n’est pas facile j’en conviens mais je ne quitte pas des yeux cet objectif et je n’y renoncerais jamais.
Que les professionnels aient du temps libre, heureusement ! Ce n’est pas parce qu’on travaille à son compte qu’on ne doit pas en avoir. Travailler tout le temps n’est à terme pas viable. Il faut pouvoir se libérer du temps pour pouvoir faire autre chose et revenir ensuite à son travail avec plus de plaisir.
Les futurs professionnels au départ auront du temps, c’est évident. Il faut qu’ils montent leur clientèle. Mais ce n’est pas propre à notre profession, c’est le lot de tout entrepreneur qui s’installe. Le but est ensuite de pouvoir en vivre. Donc au départ, ils vont passer plus de temps à faire de la prospection qu’à travailler et facturer et puis, petit à petit, cela va s’inverser. C’est la raison pour laquelle je leur conseille, le temps qu’ils montent leur clientèle, de passer par une coopérative d’activités et d’emplois. Cela peur permet de maintenir leurs droits, d’apprendre à être un entrepreneur et si cela ne marche pas et bien tant pis, ils auront testé et se seront créés de nouveaux droits pour pouvoir rebondir derrière. Plutôt que de s’installer en auto-entrepreneur de suite. Jouons la prudence et la sécurité.
Tout dépend de ce qu’ils proposent aussi comme prestations, s’il y a du monde ou pas qui propose la même chose. Si par exemple je propose des arbres généalogiques en marqueterie, il y aura peu de concurrence et peut-être que je pourrais plus facilement faire mon trou que si je propose des forfaits pour des recherches 5 générations. Ce n’est qu’un exemple bien sûr pris au hasard. Cela nécessite donc d’avoir de la réflexion avant de se mettre à son compte. Qu’est-ce que les généalogistes proposent ? Qu’est-ce qu’ils ne proposent pas ? Où est ma place ? Quels vont être mes produits ? Quel va être leur prix ? Quelle va être ma promotion pour les faire connaitre ?
Et sinon vous avez le droit de m’interpeller, de dire que vous n’êtes pas d’accord avec moi. C’est comme cela que la réflexion avance.
Madame LESCENE, pouvez-vous donner le lien de votre blog ?
Cordialement,
Vincente
Bonjour Vincente,
Voici le lien : http://genealogiepro.canalblog.com/archives/2017/04/07/35141268.html
Désolé de le mettre si tard mais j’étais en cours auparavant.
Cordialement,
Stéphane Cosson
merci à vous, je vais le voir de ce pas…
Vincente
Je crois que vous n’avez pas bien lu le titre de l’article de Christine. Elle parle spécifiquement des bases de données et recommande maintenant à ses élèves de créer celles qui les aideront au mieux et qui en plus peuvent rapporter à leurs auteurs car elles auront alors de la valeur marchande.
Je vous rassure, j’ai très bien lu l’article et le titre. A faire une base de données, autant choisir des archives qui ne sont pas indexées, inédites pour pouvoir les vendre ensuite, au fur et à mesure ou une fois que le généalogiste professionnel aura fini son dépouillement. Et pour cela, on peut utiliser le logiciel Nimègue. Si je résume en quelques lignes son article.
Mais est-ce notre rôle de dépouiller systématiquement des archives quand on est un professionnel ? Cela me fait-il vivre parce que je suis un professionnel, que tous les mois j’ai des charges à payer et le temps passé à dépouiller n’est pas du temps facturable au départ en tout cas ? Comment est-ce que je sais que ce que j’ai mis du temps à dépouiller, parfois au détriment d’autres tâches, va intéresser de futurs clients ? Est-ce que je n’aurais pas passé du temps pour rien ? Est-ce que j’ai fait une étude de marché pour savoir que, tiens, c’est tel type de document qui est intéressant ou j’y vais à l’inspiration ?
En dépouillant des archives qui ne l’ont pas été jusqu’à présent, le généalogiste professionnel est centré sur lui. En tout cas à mes yeux. Tiens je vais dépouiller les archives de l’hôpital d’Apt pendant les guerres napoléoniennes (par exemple). Cela va me prendre du temps mais in fine est-ce que je vais pouvoir le revendre ? Est-ce que je me suis posé la question de combien de personnes peuvent être intéressées et si, en fait, cela n’a pas été dépouillé jusqu’à présent c’est parce que cela n’intéresse que peu de monde ?
Et si ce temps à dépouiller, je le passais à autre chose ? Par exemple, reprendre toutes mes données généalogiques, tout classer sur un tableau Excel par couple avec les dates, les lieux et mettre en place un partenariat avec Geneanet. Parce que là je sais qu’il va les revendre et que je pourrais tous les mois récupérer 50% des ventes de ma base de données en les facturant. Parce que c’est plus simple aussi de mettre en place un partenariat avec eux que de créer mon site Internet dédié à cela. Je dis Geneanet, mais cela peut être d’autres partenariats avec d’autres sociétés. Si je mets en place le partenariat avec Geneanet, je peux voir assez vite combien cela me rapporte.
Ma base de données, celle qui me vient de mes recherches clients, j’en fais quoi ? Est-ce que j’ai une liste-éclair indexée sur Internet qui va permettre à de futurs clients de venir vers moi parce que les données qu’ils cherchent, j’ai déjà les informations et que donc, je vais leur faire gagner du temps ? Non ? Oui ? Est-ce utile ?
Où est ma meilleure valeur marchande ? Quelle est la meilleure prestation ? Comment je peux faire ma promotion à travers ce type d’action ? Comment je détermine mon prix ? Et je ne suis pas dans de « l’occupationnel » à dépouiller une série dans une salle de lecture d’Archives sans savoir si cela va me rapporter ou pas. Je suis dans un travail dont je suis sûr qu’à terme il peut me rapporter. Vous voyez la nuance ?
Cette discussion est intéressante et, même en tant qu’amateur, je me risque à donner mon avis.
Les deux auteurs des deux articles partagent, à mon sens, en réalité le même avis : celui de mettre à profit du temps de travail pendant lequel ils n’ont pas de client au profit d’un « investissement » professionnel.
Le premier auteur, Christine, imagine la création de bases de données, comme pour avancer du travail hypothétique et gagner en productivité plus tard quand le second auteur, Stéphane, propose de parcourir les salons et de mettre en œuvre des outils marketing pour attirer le client.
Donc en fait, vous proposez tous les deux de travailler (et non pas de passer le temps, même si l’on peut penser que travailler est la définition même de passer le temps, « vivre c’est s’occuper avant de mourir ») sous forme d’un investissement relatif.
Dans les deux cas ce sont des investissements, dont les retombées sont hypothétiques par nature.
Le professionnel doit prendre, à mon sens, les avis des uns et des autres et se fera sa propre opinion quand, lui aussi, devra passer le temps.
Deux versions intéressantes donc, mais qui ne s’opposent pas.
Merci pour cet avis d’un amateur éclairé.
Pour moi Clément, il y a une différence.
Pour Christine, je n’ai pas de travail alors je vais aux Archives dépouiller une série, qui n’est pas dépouillée par les sociétés commerciales et les associations, et en faire une base de données.
Pour moi, je n’ai pas de travail alors j’en profite pour retravailler les données que j’ai pu récolter via mes recherches clients et voir si je peux ensuite mettre en place des partenariats en regardant ce que demandent par exemple les sociétés commerciales, faire en sorte que les gens viennent chercher ce que j’ai déjà. J’ai un trésor de guerre, comment je peux l’exploiter au maximum en fonction de mes moyens bien sûr ?
La démarche me semble différente. Est-ce que je me fais plaisir ou est-ce que je mets en place des outils utiles à la fois pour moi et les autres ? C’est en tout cas mon ressenti.
Stéphane, dans votre dernier commentaire, je suis un peu choquée de ce que vous écrivez « j’en profite pour retravailler les données que j’ai pu récolter via mes recherches clients… » afin d’en faire profit commercial ! Et le secret professionnel ?
En tant que client, je vous donne des informations qui doivent rester entre vous et moi et seulement entre vous et moi.
Et cette action, de commercialiser des données, vous les mettez sous quelle forme ? Des bases ? Alors, vous occupez aussi votre temps disponible en création de bases. Ai-je bien compris ?
Vincente
Bonsoir Vincente,
Quand je retravaille les données de mes recherches clients, je retravaille les données de plus de 75 ans. Celles qui ont moins de 75 ans sont protégées par la loi. Les autres sont des données publiques. Vos ancêtres sont aussi ceux de vos cousins, proches ou très lointains. Un acte de naissance isolé n’est pas une généalogie, c’est une donnée. Ce que vous me dites dans le cadre de votre dossier est protégé, je vous rassure. Le secret professionnel est toujours sauvegardé.
Je travaille en outre non pas par généalogie client mais par noms de famille, toutes les données classées ensemble quelle que soit leur provenance géographique. De ce fait, personne ne peut savoir si la naissance en 1867 d’Antoine-Joseph Delmas à Réquista (Aveyron) provient de mes recherches personnelles ou de celles effectuées pour mes clients. Ce n’est qu’un acte de naissance, hors de tout contexte.
Principalement, je mets en place une liste-éclair professionnelle, tous les soirs de 20 h à 23 h, hors de mon temps de travail. Mon temps de travail, mettons de 9 h à 17 h 30 tous les jours, est consacré exclusivement à mon travail. Et pendant ce temps-là, je ne fais pas de base de données. Je ne vais pas aux Archives pour y dépouiller une série afin d’en faire une base de données. Je m’occupe exclusivement de mes clients et de leurs demandes, de Nîmes et de mes étudiants ou sinon je fais de la prospection. Je ne m’occupe pas d’autre chose. C’est mon temps de travail et je ne le consacre qu’à cela.
La fabrication de ma liste-éclair se fait hors du temps facturable, hors du temps d’ouverture de mon étude généalogique. C’est du temps que je prends sur mon temps de loisir et exclusivement sur ce temps-là. J’essaie de ne pas perdre du temps facturable ou d’en perdre le moins possible.
Est-ce que vous voyez la différence ?
Oui, je vois bien, mais… Avez-vous autant de clients que cela ? Quelle est la proportion de votre temps de généalogie par rapport à la prospection et à la formation ?
Je dois vous dire que je m’y perds. Je n’ai pas l’impression que les clients attendent que je m’installe et je ne pense pas que je vais crouler sous le travail… J’hésite vraiment !
Vincente
Bonjour Vincente,
Depuis que je fais de la formation à l’Université de Nîmes, nous avons partagé le travail avec ma collaboratrice. A elle les recherches en Archives (et celui lui fait un temps complet), à moi tout le reste : la formation (qui me prend la moitié de mon temps de septembre à juillet), la prospection, les articles dans les revues, les contacts avec la clientèle et les fournisseurs, la facturation, la comptabilité… Nous aurions pu le partager autrement certes mais il faut bien apprendre à déléguer et parfois accepter de lâcher ce qui nos plait le plus.
Avant toute installation, je conseille une étude de marché. Qu’est-ce que je vais proposer ? A quel prix ? Comment je vais me faire connaître ? Quelle va être ma place ? Pour aider à trouver des réponses à cela, il est important de savoir aussi quelles sont mes forces, mes faiblesses. Et aussi, quels pourraient être les avantages et les inconvénients de mon entreprise (c’est plus difficile quand on n’a pas débuté).
Par exemple, une force peut être : j’ai une triple formation (histoire, droit et généalogie). Une faiblesse : je suis travailleur handicapé et j’ai besoin d’heures de repos obligatoires toutes les semaines. Un avantage : je suis en contact avec la Préfecture qui me demande de rechercher pour elle les poilus de mon département. Un inconvénient : je ne peux pas travailler chez moi et il va me falloir un local extérieur.
Il faut donc regarder la concurrence. Que proposent les autres généalogistes professionnels ? Que ne proposent-ils pas ? Dans ce qu’ils ne proposent pas, qu’est-ce que moi je peux proposer ? Qu’est-ce que je peux utiliser de mon ancienne vie professionnelle ou de mes loisirs au niveau de ma future vie de généalogiste professionnel ?
Par exemple, j’aime faire du canevas. Et si je proposais des arbres généalogiques en canevas ? Que je pourrais décliner en sacs, en coussins ou que sais-je encore. Est-ce que ça existe ? Combien je peux le vendre ? Est-ce qu’il y a une clientèle ? Combien de générations dans chaque canevas ?
Cela va vous permettre de vous poser des questions et de voir pour lesquelles vous avez déjà des réponses, pour lesquelles il va vous falloir aller les chercher. C’est aussi un travail d’introspection. Vous allez trouver ainsi vos manques et les solutions pour pouvoir les combler. Prendre de l’assurance aussi : décrivez chacune de vos prestations en une phrase. Et décrivez-vous en une phrase. vous verrez ce n’est pas si simple. Mais quand vous y serez arrivée, vous aurez déjà franchi un grand pas.
Vous allez devoir vous projeter dans ce métier. C’est pour cela que je conseille à mes étudiants de faire des stages longs. Pour qu’ils puissent voir concrètement s’ils s’y sentent bien ou si vraiment c’est pas du tout ce qu’ils cherchaient. Et quand je dis un stage long, c’est au-delà des deux mois. C’est pour cela aussi qu’au départ, je conseille à ceux qui veulent se mettre à leur compte de passer par une coopérative d’activités et d’emplois. Pendant deux ans, vous allez pouvoir tester votre activité, apprendre à être entrepreneur. C’est pour cela qu’avec l’université, on a mis en place le nouveau DU « Installation du Généalogiste Professionnel ». C’est aussi pour cela que je suis en train de créer Padawan. Pour que les généalogistes professionnels débutants puissent avoir l’oreille d’un professionnel déjà installé et qu’ils puissent poser toutes les questions auxquelles la CAE ne pourra pas répondre.
Bref des solutions existent si vous avez envie. Alors n’hésitez pas à les utiliser.