Cela peut paraître bizarre, écrit comme cela. Mais je crois que c’est complètement possible. La généalogie, cela peut être baroque. Une explosion de sensations, de couleurs. Le déferlement à l’italienne plutôt que le coucou suisse. Je viens de m’en rendre compte en rédigeant un texte de présentation pour une transcription. Voici que j’y écris (en partie) : Des feuilles de papier, une gomme, un crayon à papier, un stylo fluo et vous êtes prêts. Ne vous contentez pas de lire. Ecrivez tout ce que vous lisez. Un mot ne vous semble pas clair ? Parlez-le. Comptez vos jambages sans vous prendre les pieds dans le tapis avec la traitresse lettre E. Il y a des blancs dans ce que vous déchiffrez ? Pas grave, cela m’arrive aussi. Vous encadrez d’une manière ou d’une autre les blancs et vous continuez de lire. Ne vous y arrêtez pas. Ne vous bloquez pas dessus à essayer de comprendre à tout prix. Vous ne lisez pas un mot, des phrases ? Vous les encadrez, vous y mettez un coup de stylo fluo. Et vous avancez. Vous y reviendrez plus tard, quand vous aurez lu tout le reste du texte. Vous pourrez alors prendre du temps, vous aider de ce qui entoure et que vous avez déchiffré pour comprendre le sens de ces blancs. Et vous verrez, ils se rempliront petit à petit, lettre par lettre. Jouez avec le texte que vous déchiffrez. faites un pendu pour chaque mauvaise lettre que vous lirez. Prenez-y du plasir. Eclatez-vous dans le déchiffrage. Je vous garantis que c’est possible. En y réfléchissant, cela peut permettre d’éviter de s’y ennuyer. D’y mettre un peu de peps. De toujours y trouver du plaisir.